Comment faire sans les fessées? Aux Maternelles...

Et bien une fois n'est pas coutume, je vous conseille vivement cette émission que j'ai regardé avec plaisir.

Explication pour les nouveaux,
Réconfort pour les débutants,
Soulagement (?) pour les engagés!

http://les-maternelles.france5.fr/?page=emission&id_rubrique=3458

Tout est là, n'hésitez pas à prendre un temps pour la regarder, vraiment....Ca en vaut la peine!!

Une Catherine Dumonteil-Kremer vraiment super, un témoignage de couple génial, et enfin une ambiance d'émission non pas de confrontation "pour/contre" mais bien une réflexion commune.

Ouaip...je vous la conseille

Merci !
On va regarder ça avec un grand intérêt !

Et vous??

Comment faites vous sans féssée?
En avez vous connu petit?
Parait que quand on en a jamais reçu, on n'en donne pas....

Très bonne émission en effet!
Ici, pas de fessées, et quand on est dans cette optique, je trouve qu'on en vient à considérer ça comme impossible, dans le sens où je pense vraiment que je serai incapable de donner une fessée à Léo...
On se rend compte au final que sur le long terme, ça marche quand même mieux sans fessées, avec un enfant qui a une totale confiance en nous, qui comprend les choses sans qu'on ait à se fâcher ou à rentrer dans un rapport de force (ça arrive qu'on se fâche, mais c'est quand même rare...).
Bon, après, on est loin d'être parfaits, mais il n'y a pas de parents parfaits de toute façon, et puis on apprend avec l'enfant et on s'améliore de jours en jours...

Et comme je le disais à la réunion de samedi, ici, petite, ça a été moitié-moitié: père très violent, mère pas du tout violente. Je pense que j'ai choisi pour Léo la solution qui m'a le mieux convenue petite, c'est-à-dire la non violence...

En ce moment c'est très dur avec ma fille,
et deux ou trois fois, j'ai craqué à ma grande tristesse.
Du coup pour arreter, je lui ai expliqué que je n'avais pas le droit et que c'etait mal.
Et quand je sens que ça monte, je la previens et je tape parfois ailleurs sur un meuble.
Le seul truc c'est qu'elle tape aussi sur les objets quand elle n'est pas contente.
Et puis dernièrement si je la guide dans une direction alors qu'elle n'a pas envie, elle me dit pas taper maman.
j'espère continuer à me maitriser.

Ici, c'est un sujet difficile à aborder pour moi en ce moment. Je suis très fatiguée. Fatiguée par la préparation de l'opération de Tim, de ses nuits horribles avant, de ses nuits avec de nombreux reveils depuis, par le comportement de Luck (qui a surement du aussi s'inquieter pour son frère), et de Lisa et ses catastrophes. Je ne peux pas la laisser 1 minutes toute seule. Le simple fait que j'aille aux toilettes et elle a trouvé une nouvelle expérience, et ça devient usant. Elle a écrit partout sur les murs, elle vide mes shampoings et cremes (qui ne sont pourtant pas à sa hauteur), elle jette tout par terre, en plein phase d'opposition ... Les disputes des gars m'épuisent. Et j'ai l'impression de passer mon temps à crier, comment ai je ^pu faire un tel retour en arriere. J'ai moi aussi craqué un soir et mis une fessée à Lisa. Je n'ai pas arreté de menacé les gars dès que je saturais. Je me déteste quand je réagis de cette manière. Je le sais qu'il ne faut pas. Ils le savent aussi car les gars me repetent "ben t'as dit que c'était pas bien de crier ou de menacer" ... je le sais et pourtant impossible de me controler.
J'avais fait beaucoup de progrès, plus de fessée, plus de menaces et là en quelques semaines j ai l impression que j'ai tout à refaire. Martial me dit : ben tu vois je t'avais bien dit que l'ENV avait des limites, que tu craquerai. Il trouve ça bien mais dit qu onne peut pas le faire avec tous les enfants, enfin pas avec ceux qui ne rentrent pas dans un cadre (là il parle de Lisa qui nous ne fait voir de toutes les couleurs) et là c'est encore un echec parce qu il etait quasiment convaincu.

Bref, je rêve de réussir à me controler, de revenir quelques mois en arrière...je sais que c'est faisable, il faut juste que je retrouve un peu d energie et que je me replonge dans mes lectures (ça m aide beaucoup).
La seule chose qui me "rassure" c'est que je sais que je ne veux pas d une education basée sur la menace et la violence, et je sais que c'est passager, que je ne pourrais pas me regarder dans un miroir en étant une maman qui crie tout le temps.
Heureusement les fêtes arrivent, avec un changement d'air, pas de taches menageres, juste la famille et les amis, de quoi me ressourcer pour commencer l'année avec de bonnes résolutions.

C'est super Delph, cette amorce!
C'est difficile quand il s'agit d'aller à l'encontre de ce qui nous habite. Cela demande beaucoup d'effort et d'énergie. On perd parfois la motivation. C'est pourquoi il me semble intéressant d'avoir une image future de ce qu'on cherche, avoir une sorte d'image de grigri qui nous remet les pendules à l'heure? L'autre jour, dans l'émission une maman parlait de l'image de Gandhi qu'elle voyait les moments où il lui était difficile de garder la volonté. Moi, car je vais également à l'encontre de moeurs, de certaines bases éducatives que j'ai pu côtoyer, je m'applique à vois mes enfants tout bébé, le jour de leur naissance où ils étaient si petits si fragiles et dépendants. Je trouve que cela aide bien.

Et puis avec un bon accompagnement, car il est vraiment utile de rencontrer d'autres personnes, d'autres parents dans cette démarche, d'en parler (d'oser!c'est pas simple...) de voir comment ça se passe ailleurs, de se sentir moins seul et trouver des solutions. La route est difficile, et savoir que nous sommes plusieurs sur le chemin, c'est rassurant et boustant parfois!...

Après, quand tu dis espérer te maîtriser, je te le souhaite bien sûr, mais il va falloir que ça sorte par une autre porte. A toi de trouver comment...

Un tit truc encore : je comprends dans ce que tu écris que tu déplace donc ton geste sur les meubles et que tu coup tu as l'impression que ta fille t'imite en tapant sur les objets, c'est bien ça? Je pense que cela met en avant l'importance, du moins la nécessité pour ta fille, pour qu'elle structure tout cela, de choisir un seul objet qu'il s'agisse d'un coussin, d'un vieux jouet non apprécié , ce qui vous convient à vous!, et de le désigner comme objet de la colère. C'est l'idée me semble-t-il de Filliozat avec son "coussin de la colère" (tu en as certainement entendu parlé!!). Je sais qu'ici cela n'a pas fonctionné, mais peut-être que pour ta fille ce serait utile afin qu'elle comprenne encore mieux l'importance de l'acte et l'objectif (qui est de s'exprimer physiquement et non de viser tel ou tel objet pour le casser ou pour faire du bruit...). Tu me comprends?

Voilà. Bon courage à toi, et si tu as besoin, n'hésite pas à revenir en parler, nous sommes beaucoup sur la même route!!!

Ce doit être difficile, oui, Céline.

Je te souhaite de te reposer et de te faire du bien afin de te recentrer et de retrouver tes ressources intérieures. Ce sont elles qui te permettront me semble-t-il de reprendre confiance en toi, en ce que tu as déjà fait et que tu peux refaire, qui te redonneront la patience nécessaire face à des enfants vivants et curieux!
C'est ainsi également que tu pourras retrouver la force, que ton mari n'a pas encore perçu et ne peut donc pas te donner pour l'instant.

Il te faut de l'énergie après tout ces évènements! Un souffle de bien-être! Comme tu le dis l'ambiance des fêtes t'amènera peut-être ce dont tu as besoin!

Comme je le disais la route peut être longue et avoir de beaux nids de poule De même qu'un enfant vit parfois des régressions, pour mieux sauter vers l'avant par la suite!

Que penses-tu de mettre en mots cela avec tes enfants : oui, ils ont raison c'est mal de taper et de crier. Ca ne sert à rien, maiss pour toi, dernièrement il y a eu beaucoup de fatigue, beaucoup de peur qui font que tu as du mal à être toujours disponible pour eux, et pourquoi pas leur demander du soutien? D'essayer de trouver des compromis les fois où tu sens la fatigue trop encombrante chez toi?...

Bon courage.
Bises

J'y réfléchis Amelie et je vous dis ce qu on reussit à mettre en place

oui j'ai dejà entendu parler du coussin de la colère mais mon mari n'etait pas trop pour, il faut que j'en reparle avec lui.
j'ai aussi repris un suivi psy pour évacuer toute la colère que j'ai en moins ou
tout du moins mettre des mots dessus.

Intéressant....
Pourquoi n'est-il pas pour?

Pour lui c'est interdit de taper tout court donc on ne tape pas sur un coussin.
Il a peur quand lui autorisant à taper sur ce coussin, on l'autorise à taper tout simplement.

Mmmmm... Dommage que vous ne soyez pas venu à la réunion d'Astrid samedi car c'était sur cela.

Mon avis :
L'agressivité est quelque chose que nous portons tous en nous, enfant comme adulte. C'est un ressenti, tel une émotion, naturel! C'est la violence qui peut en résulter qui mérite d'être guidée, structurée et cadrée. On peut être en colère, avoir besoin de la décharger, et je dirais même qu'il est sain de la décharger pour éviter le cumul, le sur-plein et le pétage de plomb final qui risque d'être complétement déconnecté du point de départ!
Adultes nous avons trouvé plus ou moins nos outils pour ne pas frapper sur son voisin qui se gare mal!! Enfant, il s'agit d'apprendre ce qui peut ou non se faire, et dans ce cas savoir comment faire autrement.

Taper sur les autres : non!!!! Si besoin de décharger en tapant,oui, mais pas sur l'autre, sur l'objet. Besoin de crier pour faire sortir la frustration? oui!!! Mais pas sur l'autre, sur un objet, seul, dans sa chambre, accompagné...

Pour moi c'est très important, comme un hygiène de vie que cela soit permis à l'enfant, comme les pleurs, pour qu'il s'en délivre au plus vite et que cela ne l'encrasse pas, et ne le perturbe pas dans ses autres apprentissages.

Il serait intéressant de savoir ce que cela signifie pour ton homme que de "taper". Peut-être que sa solution à lui a été enfouir au plus profond, en évitant l'expression, toute forme d'expression...? Que ressent-il face à la violence de l'acte? A quoi cela fait-il écho pour lui?....

Je n'ai pas encore visionné l'émission, mais quand j'ai vu vos commentaires, je me suis dit que je pouvais sans risque l'envoyer à une amie.
Son homme et elle donnent des fessées à leur petit garçon. Nous en avons pas mal discuté un soir, alors qu'ils étaient venus dîner à la maison.
Leur petit garçon a quatre ans et demi, il est surexcité quand il vient chez nous. Par exemple, il passait à côté du sapin qui commençait à être plus que sec, et donc perdait des épines dès qu'on l'approchait. Ses parents lui ont demandé de faire attention en passant, et après il faisait exprès de frôler le sapin à chaque fois qu'il passait. Personnellement, ça m'était égal, mais ses parents perdaient patience.
Il a reçu une fessée chez nous (pas pour ça !) mais je n'étais pas dans la pièce à ce moment là.
Nous en avons discuté plus tard, à table, et j'avais bien du mal à argumenter, sans juger. C'est pour ça que j'ai envoyé la vidéo.
Ils me disaient que j'avais déjà mis de l'eau dans mon vin pour la tétine par exemple (je déteste ça et pourtant Nils en a une pour dormir), et que je verrai bien quand Nils sera un peu plus grand, qu'il ne faut pas que je dise "Fontaine, je ne boirai pas de ton eau".
A un moment, le papa s'est levé pour aller vers l'ordinateur (mon homme voulait lui montrer quelque chose). Son petit garçon, alors que j'avais sorti des livres pour Nils qui aime beaucoup lire, avait jeté tous les livres par terre (il était très excité, sans doute fatigué) et empêchait Nils de lire. Son père n'avait pas l'intention d'aller vers lui, mais il a mal compris et est devenu encore plus excité, s'est mis à rire frénétiquement en se précipitant vers son papa. Je pense qu'il craignait une remontrance. Et quand j'ai dit à ses parents ce que je pensais de l'attitude, à cet instant, de leur fils, le père m'a dit "Ah oui, ça se voit que mon fils ne m'aime pas et me craint, il vient vers moi !". Je n'ai jamais dit que leur fils ne les aimaient pas, j'avais évoqué ce que j'avais lu quelque part (pour l'enfant, comment comprendre que celui qui est sensé l'aimer lui fasse du mal). Il n'avait rien compris...
C'est pour ça que je souhaite tellement que le message soit clair, je m'embrouille, alors je préfère leur envoyer des vidéos comme celle là, les orienter vers des livres écrits par des gens qui ont plus confiance en eux, et qui savent dire les choses et argumenter.

Je n'ai jamais donné de fessée à Nils, mais parfois c'est plutôt comme Gla10 (la maîtrise physique pour lui mettre une couche, l'habiller...). Je trouve que, quand je perds patience, beaucoup trop de "non" fusent, je parle fort...
Le réaliser est un premier pas et je rêve de faire comme celui avec qui je travaille et sa compagne, le ton ne monte pas, il n'y a aucune violence, verbale ou physique...
J'essaie de penser à ce qu'Amélie dit souvent : se mettre à la place de l'enfant.
J'y travaille !

Bravo et bon courage à toutes et à tous dans vos cheminements !

Je déteste par dessus tout quand des parents qui donnent des fessées me sortent ça:

Citation :

Ils me disaient que j'avais déjà mis de l'eau dans mon vin pour la tétine par exemple (je déteste ça et pourtant Nils en a une pour dormir), et que je verrai bien quand Nils sera un peu plus grand, qu'il ne faut pas que je dise "Fontaine, je ne boirai pas de ton eau".

Comme si on était obligé de passer par la fessée, qu'il est impossible d'élever un enfant autrement...

En tout cas, Cla, je te comprends, comme j'en ai très souvent parlé ici, je suis dans le même cas avec ma belle-soeur et mon beau-frère, et quand je vois le résultat d'une éducation où la fessée (et les claques) ont leur place au quotidien, je suis très très satisfaite de mon choix d'éducation non-violente!!!!
Et j'ai de plus en plus de mal à supporter de voir un enfant se prendre une fessée ou une claque... Je n'arrive pas à prendre du recul, à me dire que les parents ont leur histoire à eux, à leur trouver des excuses... Pourtant, parfois, on peut comprendre une maman débordée, fatiguée, qui ne trouvant plus de solution, en arrive à la fessée. Mais jamais je n'arriverai à comprendre les fessées "gratuites" (comme par exemple ma nièce de 20 mois, qui l'autre jour, renverse son verre d'eau à table. Elle n'avait pas fait exprès la pauvre, elle s'est prit non pas une fessée, mais une belle claque sur la joue et s'est retrouvée punie dans son lit, à hurler tant qu'elle pouvait... Pffff, ça me fait tellement de peine...)

Se mettre à la place de l'enfant, et également avoir conscience de ce que la situation produit chez nous, l'echo qui se produit, les schémas vecus, entendus qui se remettent place...sont ils vraiment de nous? Ou sont ils là par automatisme..

Enfin,quelque chose qui m'est très cher : ne jamais douter que l'enfant, l'individu nait bon, et que c'est l'environnement, les expériences quipeuvent provoquer certaines réactions. Un enfant ne nait pas machiavélique ou destructeur.

Cla78, tes amis ont ils envie d'ouvrir la porte que tu leur proposes? Les sensibiliser c'est une chose, mais s'il n'y a pas d'echo, je pense que l'échange de savoir se transforme en observation de ta part, ou concrètement en soutien. Si ça ne les intéresse pas, ça risque de sortir par l'autre oreille, voire de mettre fin a vos rencontres, non? Je suis d'accord sur le faitqu'ilest important d'agir pour le bien être des individus. Mais on ne peut forcer quelqu'un... Non?

C'est très difficile comme situation.

Je vis avec quelqu'un qui ne croit pas en l'education non violente. Il tente cependant de me suivre, sceptique, et prêt a me pointer que cela ne marche pas. Mais il essaie quand même... Je m'aperçois que seul lui peut faire ce chemin. Je m'efforce de maintenir mon cap, mes croyances, de montrer cet autre chemin, et c'est parfois très difficile car je rencontre les mêmes situations que vous (gestes brefs, haussement de voix -mon gros point faible, et oui! ...) et ce, sans être sure que l'autre pourra prendre le relais et rétablir la bienveillance. Je suis beaucoup intervenue dans sa manière de faire, pointer ma vision des choses, et me rends compte que cela a provoqué l'effet inverse. Alors je m'efforce à présent de rester à ma place, et de faire confiance en mon homme dans son cheminement, et en mes enfants à qui je continue de parler d'expliquer... Ils ont quand même cette version là et cette porte ouverte que je leur propose.

Tout ça pour dire, que je trouve très particuliers, difficile et sensible d'aborder ce sujet avec des personnes fermées à cela. Le risque est d'entrer en effet dans le jugement qui dessert plus qu'autre chose, de blesser à son tour l'autre et de fermer encore plus. Peut être montrer sans interférer mais à d'autres moments devant eux, qu'on peut faire autrement...

Qu'en pensez vous?

Je pense que le papa est assez fermé à ça, mais j'avais l'impression que la maman était plus ouverte, c'est pour ça que j'ai envoyé la vidéo à la maman...
Cependant, quand j'ai vu le papa quelques jours après, il a dit "Clarisse nous a envoyé quelque chose... mais on n'arrive pas à regarder la vidéo".
Dommage...
Je n'insiste pas, mais en fait, le gros problème c'est que le papa, dès qu'il arrive chez nous, dit au bout d'un moment : "Alors Nils, tu veux une petite trempinette ?", sur le ton de la plaisanterie (très drôle, non ?). Alors ce sont eux qui remettent ça sur le tapis.
J'ai l'impression que, d'ailleurs, le fait qu'ils remettent ça sur le tapis, c'est que ça les interpelle quand même... ou alors ils essaient de me convaincre, et effectivement ce sera un dialogue de sourds (d'ailleurs mon homme s'efface en général car il a l'impression que ces discussions ne mènent à rien ni dans un sens ni dans l'autre).

Malheureusement, je me suis aperçue que nous ne pouvions plus voir l'émission en entier, seulement 2 minutes 22...
C'est déjà pas mal mais c'est dommage de ne pouvoir regarder l'émission en entier.

Ok...

Mouais la "drôle" de blague et le fait qu'il remette sur le tapis est interpelant. Pourquoi ne pas lui faire remarquer avec humour ou détachement qu'il parle souvent de ce thème...? (genre "Ca doit vraiment être un sujet important pour toi pour que tu en parles à chaque fois! ) A voir s'il s'efface, ou si la discussion s'engage de nouveau.eE là, bien mettre en avant avec lui, ce que lui cherche en en parlant avec vous sachant que vous n'avez pas la même conception des choses... Qu'en dis-tu? Parce que comme ton homme, je crois que je me lasserai également et y'aurait un moment où j'aurais besoin que soit ça s'arrête soit ça avance...
Pas facile facile.

Dommage pour la vidéo!.... je sais pas si en écrivant à l'émission il est possible d'y avoir de nouveau accès...

Par contre, ça dépend vraiment des thèmes et surtout des intervenants : ce matin j'ai eu accès à la tv (lol) et j'ai regardé l'émission. C'était sur les bébés qui pleurent "tout le temps". J'ai été déçue... Même si le pédiatre invité a un moment donné reconnu qu'il arrêtait de culpabiliser les mères et les soutenait à présent en se rendant compte que les résultats étaient meilleurs (ouffff!), il a balayé d'un revers de la main ce que Miss INternet (Nadia je crois) avait lu, le terme de B.A.B.I., bébés aux besoins intenses, en disant que ça c'était les parents qui créaient les besoins de leur enfants.... mouais au même titre, à l'inverse, en n'écoutant pas ou en minimisant les appels de l'enfant, on amène l'enfant à nier ses besoins et ne plus les exprimer..... bref....
C'est une émission que je ne mets vraiment pas en référence. Mais il est vrai que sur le thème de la fessée (sûrement parce que c'est dans l'air du temps avec les propositions de loi), ils avaient réussi une émission intéressante.

J'espère que tu vas trouver les bons mots et l'attitude pour évoluer sereinement dans ta relation avec vos amis, cla78 .